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Un Conseil d’administration présidé par le Wali de la région

Conformément au chapitre III de la loi 47-18, le CRI est dirigé par un Conseil d’administration et géré par un Directeur Général nommé conformément à la législation et la réglementation en vigueur.

Le Conseil d’Administration se compose, sous la présidence du Wali de la Région Casablanca-Settat, des membres suivants :

Le Président du conseil de la Région ou l’un de ses vice-présidents dûment désignés par lui à cet effet.

Les Représentants régionaux de l’ensemble des administrations publiques concernées par le développement des investissements, telles que l’Agence marocaine de développement des investissements et des exportations, l’Agence nationale de la promotion de la petite et moyenne entreprise, l’Agence nationale de promotion de l'emploi et des compétences, l’Office de la formation professionnelle et de la promotion du travail, l’Agence pour le développement agricole, l’Agence nationale de développement de l’aquaculture, la Caisse centrale de garantie, l’Agence urbaine du chef-lieu de la région, les Présidents des Chambres de commerce, d’industrie et de services, d’agriculture, de la pêche maritime et de l’artisanat de la région et le représentant, au niveau de la région, de l’organisation professionnelle des employeurs la plus représentative.

Trois personnalités indépendantes désignées par le Président du conseil d’administration et reconnues pour leurs compétences, en adéquation avec les missions du CRI.

 

Consultez les réunions du Conseil d’administration dans la presse

 

Double dispositif de contrôle et d’évaluation

 

Le Conseil d'Administration dispose de tous les pouvoirs et attributions nécessaires à l'administration du CRI. Il est appuyé par une structure de contrôle interne et externe, ainsi que d’un double dispositif d’évaluation des performances.

Une Commission interministérielle de pilotage

 

Pour compléter le dispositif et placer les CRI au cœur d’une action nationale en faveur de l’investissement, leur réforme est suivie et pilotée par une Commission interministérielle qui se penche sur les éventuelles difficultés rencontrées, s’assure de l’efficacité de la simplification des procédures et suit l’évaluation des performances.